Nous quittons la chambre d’hôtes « Ayguelongue » de Géus d’Arzacq sous le soleil matinaln, et passons devant l’église.

Église du début du 18e siècle, avec date portée 1709 (portail sud, claveau central). Reconstruite sur l’emplacement d’une église médiévale, romane (plan respecté). Les Archives Départementales des Pyrénées-Atlantiques mentionnent un presbytère construit par Pierre de Laforcade vers 1725-1730. Peut-être est-ce la maison d’habitation accolée à l’église, au sud.

Après quelques centaines de mètres sur le bitume, nous prenons un chemin de terre en direction de Pomps.

 

Attention prenez vos précautions pour le pique nique, l’épicerie de Pomps à des horaires « bizarres ».

Nous continuons le bitume jusqu’à Castillon

 

Nous franchissons le ruisseau « Lech » et poursuivons, durant 1,5 km, le long de la départementale jusqu’à Castillon.

 

Si les ¾ de ce parcours s’effectuent à plat, nous avons droit, à la fin, à un bon raidillon (de 140 à 200 mètres d’altitude). Au sommet, nous découvrons, dans le centre du village,  l’église Saint-Pierre.

Nous ferons une pause à Castillon

 

À la sortie de Castillon, nous descendons un chemin de terre forestier. Nous passons le ruisseau « Aubin » (139 mètres d’altitude) et retrouvons la D269 sur laquelle nous marchons durant un kilomètre. Nous quittons cette départementale pour prendre, sur la gauche, une petite route montant vers la D263.

 

Au sommet, nous pouvons admirer la chapelle de Caubin

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le curé d’Arthez-de-Béarn avait promis de faire édifier un oratoire pour remercier la Vierge si les 37 prisonniers de guerre du village revenaient sains et saufs de captivité. Un artisan maçon local réalisa cet ouvrage qui fut inauguré, le 15 août 1951, en présence des habitants d’Arthez-de-Béarn et des environs. Ceux-ci transportèrent en procession la statue de la Vierge de l’église du bourg à Caubin.

Nous nous dirigeons ensuite vers Arthez-de-Béarn

Ou nous retrouvons quelques  » connaissances étrangères » dans un des seuls commerces ouverts en ce jour ferié !

Nous traversons tout le village et continuons le long de la D946, puis de la D275, pendant 1,5 km. Nous quittons la départementale, nous poursuivons cependant sur l’asphalte durant encore un kilomètre.

Nous continuons pendant 2,5 km, sur un chemin caillouteux descendant progressivement. Ce tracé, bien agréable, passe notamment dans le bois de Leire.

Pause sous le porche abrité de l’église Saint-Pierre d’Argagnon.

 

Le tracé blanc et rouge descend ensuite, derrière les glissières de sécurité, la D817. Nous traversons la départementale un peu plus loin et empruntons la D275 jusqu’à Maslacq, soit sur 1,5 km. Sur cet itinéraire, nous franchissons successivement la voie ferrée (Toulouse – Bayonne),

le gave de Pau (74 mètres d’altitude) et l’autoroute A64.

 

Des pots de fleurs décorés, il fallait y penser !

Nous avons réservé une chambre d’hôtes à l’Estanquet

Nous regretterons vite le choix de ce lieu ! Le gite est ancien, pas de chambre d’hôte, pas d’isolation phonique entre les planchers et les murs .. bonjour le calme !

De plus l’hôte tient une ferme nous la verrons seulement 1/4h pour le règlement et le tampon .. Il faudrait choisir entre accueil et travail, en tout cas rien de l’esprit du chemin !

Le soir un traiteur livrera les repas commandés à l’avance et le matin petit déjeuner libre service  !

 

Distance: 22.8km

Denivelé + : 200m

Dénivelé – : 255m